23/11/2007

LE SUCRE

Qui se sucre sur l'aspartame ?L'histoire de la communication sur l'aspartame est un vrai cas d'école. On ne sait pourquoi, dès l'origine, cette molécule a déchaîné les rumeurs les plus folles. Dernièrement, elle était, disait-on, « cancérigène ». En cause, l'exploitation des résultats de l'étude Ramazini qui a inquiété les consommateurs pendant plusieurs mois. Jusqu'à ce que les conclusions prétendent désamorcer la bombe : rien ne permet de démontrer que l'aspartame ait un effet cancérigène... Mais le mal est fait. Le doute a été semé. Délibérément ou non, les auteurs de l'étude ont fait en sorte que toutes les questions qu'ils se posaient fassent l'objet de communiqués dans les médias. Avec des conséquences désastreuses, non seulement pour les fabricants, les distributeurs et les consommateurs, mais aussi pour les agences d'évaluation. Car enfin, il s'agirait peut-être avant tout d'évaluer précisément le rapport risques/ bénéfices avant de clouer au pilori une molécule qui n'est en somme rien d'autre qu'un acide aminé. Soit le maillon le plus simple de la protéine, dont on a découvert par le plus grand des hasards le fort pouvoir sucrant. Rien de trafiqué ni de génétiquement modifié dans l'aspartame. Mais un moyen, pour cette majorité silencieuse de consommateurs qui ne peuvent se passer longtemps de leur soda préféré ou de leur sucre dans le café, de conserver le plaisir du goût sucré sans en payer la facture calorique. L'éthique la plus élémentaire consisterait à suivre une procédure stricte d'évaluation des résultats avant toute communication sur le risque étudié. On aimerait que des autorités compétentes puissent intervenir et garantir l'objectivité d'une telle communication, quels qu'en soient les résultats. Et quand, comme c'est le cas de l'aspartame, l'innocuité de la molécule est prouvée, éviter d'avoir instillé le doute dans l'esprit du public. Car on sait bien que la rumeur court toujours plus vite et plus durablement que son démenti ! Reste à se demander à qui profite l'idée fausse en ces temps de guerre économique.Nathalie Hutter-Lardeau, directrice d'Atlantic Santé www.atlantic-sante.comDangereux l'aspartame ? Elle court, elle court la rumeur sur les dangers de l'aspartame commercialisé sous le nom de Canderel en France et de Nutrasweet aux Etats-Unis. Cet édulcorant possède deux qualités : il a un pouvoir sucrant 200 fois supérieur au sucre avec un goût très proche de ce dernier et surtout son apport calorique est extrêmement faible. Il est donc utilisé abondamment soit directement par les consommateurs, soucieux de leur ligne, mais aussi dans les sodas « light ».L'aspartame est découvert en 1965, mais c'est en 1981 que la Food and Drug Administration (FDA- l'autorité sanitaire des Etats-Unis) autorise son usage comme additif alimentaire. En 1996 une étude (Olney et col. Journal of Neuropathology & Neurology 55,n° 11, 1115-1123, novembre 1996) émet l'hypothèse qu'une augmentation du nombre de tumeurs au cerveau serait liée à l'utilisation de l'édulcorant. En effet la dégradation des composés de l'aspartame produirait une substance cancérigène.Pour la FDA ce problème a déjà été évoqué avant la délivrance de l'autorisation de mise sur le marché. Après la parution de l'étude d'Olney, un examen des registres de l'Institut National du Cancer américain n'a pas permis de conclure à une association entre l'augmentation des cancers du cerveau et l'usage de l'édulcorant.Malgré ces mises au point, et d'autres recommandations favorables émisent par l'OMS et diverses sociétés savantes, les rumeurs de toxicité ressurgissent périodiquement notamment sur le Web. La polémique est relancée par le Sunday Express dans son édition du 9 janvier 2000. le journal évoque l'aspartame comme cause de cécité, de sclérose en plaque et de cancer du cerveau. Qui croire ?L'aspartame est composé de méthanol et de deux acides aminés, la phénylalanine et l'acide aspartique. Ces trois substances sont naturellement présentes dans certains aliments et en quantité plus importante que dans les doses usuellement ingérées d'aspartame.Il est néanmoins avéré que, sous l'effet de la chaleur l'aspartame se dégrade en dicétopipérazine qui, chauffée elle aussi, forme des produits cancérigènes. En dessous de 105° C la dégradation de l'aspartame est extrêmement faible et du coup le risque cancérigène le semble aussi.L'aspartame est toutefois contre-indiqué pour les personnes souffrant de phénylcétonurie, c'est à dire d'une incapacité à transformer la phénylalanine présente dans l'édulcorant. Cette rare maladie héréditaire est dépistée systématiquement et les produits contenant de l'aspartame mentionne la présence de l'acide aminé.Faut-il faire confiance à des rumeurs souvent invérifiable ? Ou bien croire en l'indépendance des autorités sanitaires mondiales et de différents pays ? Doit-on suspecter la main invisible des industriels toujours prompts à protéger ses intérêts financiers et pour cela prête à influencer les autorités sanitaires ? Cela c'est bien vu par le passé. En définitive, la question est : à qui faire confiance ? Et dans le doute l'abstention resterait-elle l'unique solution ... ?Thomas LevenLA RUMEUR... "UNE DROGUE ET UN POISON EN VENTE LIBRE!!!!"Le sucre blanc, raffiné, est responsable de nombreuses maladies physiques et mentales courantes. L'aspartame, sucre de substitution est un veritable poison. Changer une drogue pour un poison voila qui n'est pas banal dans le discours des médecins et dietéticiens. L'aspartame n'a jamais rien changé aux problèmes de surconsommation de sucres. Le sucre naturel comme la fructose ou la maltose sont nécessaires à l'organisme, mais les sucres raffinés sont toxiques parcequ'ils apportent des vitamines "vides", c'est à dire qu'ils nécessitent des minéraux et des vitamines pour compenser leur excès d'acidité et par conséquent les enlèvent à l'organisme provoquant des avitaminoses et une perte du calcium. Le sucre blanc raffiné est un facteur de détérioration dentaire, favorise les infeccions, l'obésité et augmente les risques de cancer et de maladies cardiovasculaires. L'aspartame, est un produit de synthèse découvert par hazard en 1965 par un chimiste du laboratoire Searle alors qu'il cherchait un médicament pour traiter les ulcères. L'aspartame une fois absorbé se transforme en vrais poisons, la phenilalanine, le metanol et la dicetopiperacine. La phenilalanine est un acide aminé situé dans le cerveau et son excès détruit la sérotonine provoquant des troubles émotionnels, dépression, perte de mémoire et destruction des neurones. la concentration de phenilalanine dans le placenta peut provoquer des cas d'aliénation mentale.(Dr Louis Elsas, professeur de pédiatrie) Le metanol se transforme dans l'organisme en acide formique qui est cancerigène.La dicetopiperacine provoque des tumeurs cérébrales et utérines. La dose toxique pour l'organisme est de 8mg par jour et une boisson "light" en contient 56mg c'est à dire 7 fois la dose toxique.Pour la petite histoire de l'aspartame il faut savoir qu'en 1965 le laboratoire Searle était en difficulté financière et que la FDA (administation de control sanitaire américaine) faisait des enquètes sur les méthodes d'expérimentation des médicaments. La famille Searle a finacé la campagne électorale de Donald Rumsfeld (encore lui!!!) à Chicago et lui confia le poste de Président directeur général. A la suite de quoi l'enquète de la FDA fut interrompue et l'aspartame mis sur le marché américain en 1974. Searle fut achetée en 1982 par Monsanto (encore lui!!) que nous connaissons bien pour sa fabrication d'OGM. Pour dépister les plus curieux le laboratoire changea de nom et devint NutraSweet. En 1988 l'aspartame a été autorisé en Europe sous le code E 951 dans la classification des additifs.LA RUMEUR (suite)...Les Dangers de l'AspartameUne communication de Jean HudonLe 28 août avait été décrété "Journée mondiale de sensibilisation aux méfaits de l'aspartame" par Betty Martini, la fondatrice du mouvement Mission Possible International qui fait campagne depuis des années pour faire connaître les graves méfaits pour la santé occasionnés par la consommation, le plus souvent à notre insu, d'un succédané artificiel du sucre appelé aspartame. La liste des problèmes de santé qu'il entraîne est ahurissante et le pire, c'est que l'aspartame se retrouve dans des milliers d'aliments transformés et de breuvages (près de 9000 selon Betty Martini, au minimum 3000 de l'aveu même de la FDA tel qu'on peut le constater sur http://vm.cfsan.fda.gov/~dms/eafus.html et même comme agent sucrant dans des vitamines et autres suppléments — sans que ça ne soit indiqué sur l'emballage ! — Certains ont même fait circuler des informations selon lesquelles l'aspartame est ajouté au sucre blanc et dans un tas de friandises dont le chocolat pour en augmenter le goût sucré et ainsi réduire les quantités de sucre entrant dans la recette et donc le coût de revient de l'aliment produit. Assez dément non quand on sait que l'aspartame est un puissant neurotoxique dont l'approbation en 1981 par la Food and Drug Administration (FDA) américaine pour l'alimentation humaine (et ensuite par « Santé et Bien-être Canada » et toutes les autres agences gouvernementales équivalentes dans les autres pays) s'est fait en dépit d'études démontrant ses effets néfastes et ultimement mortels. Et tenez-vous bien, il y a quelques années, la FDA a publié un rapport gardé confidentiel faisant état de plus de 10.000 plaintes déposées par des consommateurs énumérant plus de 92 symptômes liés à la consommation d'aspartame dont notamment les migraines, des difficultés d'élocution, une baisse marquée de l'acuité visuelle, le vertige, des difficultés à marcher, la précipitation de la maladie d'alzheimer, le lupus, la sclérose en plaque, la stérilité, des tumeurs dans le cerveau, les testicules, les ovaires, l'utérus et le pancréas, le diabète, l'impotence, les accès de rage, dépressions et tendances suicidaires et ultimement la mort.En dépit de son instabilité chimique puisque l'aspartame se décompose en méthanol (alcool de bois), en DKP (causant des tumeurs au cerveau) et en formaldéhyde lorsqu'exposé à des températures excédant 86 degrés Fahrenheit, la FDA a approuvé son usage dans la cuisson en 1993. Utilisé massivement dans tous les breuvages diètes (Coke Diète, Diète Pepsi, etc. ), il suffit dont que les bouteilles séjournent quelques heures dans un entrepôt ou un véhicule de transport non-réfrigéré et exposé au soleil et donc à des températures excédant 86 degrés Fahrenheit (ce qui est très fréquent en été), ou tout simplement dans un estomac humain, pour que l'aspartame qu'elles contiennent se transforme en un poison mortel qui agit insidieusement pour engendrer toute une flopée de symptômes et de maladies (on attribue même le fameux Syndrome de la Guerre du Golfe à la consommation par les G.I. américains de Coke Diète et Diète Pepsi entreposé pendant des semaines à la chaleur torride du désert saoudien) que jusqu'à tout récemment personne ne pensait à relier à la consommation d'aspartame... Maintenant, vous le savez...« Mais ça ne se peut pas » pensez-vous, « que la FDA approuve un tel poison. » Et bien justement, selon des informations recueillies par les activistes qui demandent qu'on bannisse à tout jamais ce produit sorti tout droit des cuisines de l'enfer, le comité chargé d'étudier les demandes d'approbation de nouveaux produits de la FDA s'est refusé pendant 16 ans à approuver ce produit en raison des études démontrant sa nocivité. Mais l'ancien président Ronald Reagan, un ami de la compagnie Searle qui a concocté l'aspartame (Searle a depuis été rachetée par Monsanto Chemical, la même multinationale qui "pousse" partout dans le monde la culture des dangereux aliments transgéniques), a mis à la porte de la FDA le commissaire en chef qui bloquait l'approbation de l'aspartame et nommé à sa place le Dr. Arthur Hull Hayes qui lui, n'a pas eu la moindre hésitation à imposer en 86 l'approbation de l'aspartame en dépit de l'opposition véhémente de tous les membres du Comité d'évaluation dont les recommandations ont pris le chemin de la poubelle. Peu après, ce triste personnage était engagé par la firme de relations publiques de Searle avec un salaire, affirme la rumeur, de 1 000 dollars US par jour...Quoiqu'il en soit :L'aspartame est une petite protéine qui donne un goût proche du sucre. Ce succédané apporte très peu de calories, car il en faut environ 200 fois moins pour donner un goût équivalent à celui du sucre. On recommande donc aux diabétiques d'utiliser ce substitut, afin de les aider à contrôler leur taux de sucre sanguin. Mais des chercheurs de l'Université Laval de Québec ont découvert que la consommation d'aspartame avant l'effort donne lieu aux mêmes variations de la glycémie que celle de sucre. Les chercheurs ont examiné dix diabétiques pendant une séance d'entraînement d'une heure à jeun ou précédée d'un repas sucré ou édulcoré. Bien que le repas sucré à l'aspartame contienne 20% de calories de moins, les deux repas ont induit un pic de glycémie identique. Par contre, les sujets qui étaient à jeun n'ont pas eu de variation importante de la glycémie. Il semblerait donc que l'aspartame imite tellement bien le sucre que le système qui contrôle la glycémie en tienne compte de la même manière. Il reste à voir si les autres édulcorants agissent à l'identique, ou si c'est une caractéristique spécifique à l'aspartame. Source: Université Laval

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